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Secrétaire dos d'âne "Bonheur du jour" époque Louis XV

Joli bureau de pente dit bureau "dos d'âne", galbé et marqueté de bois de violette sur toutes les faces du meuble.

Meuble du XVIIIème siècle, d'époque et de style Louis XV.
Dimensions (Hauteur/Largeur/Profondeur) :  91 x 62 x 41 cm
Expertise commissaire priseur

 

A noter : Le meuble datant du XVIIIème siècle, de légers sauts de placage sont à noter.

Légère fente au dos (voir photo).

 

  • Forme : Secrétaire ou petit bureau de pente dit "bureau dos d'âne" de forme galbée
  • Ouvrants :  En façade, un rang de 2 petits tiroirs et un rang de tiroir de long (entrée de serrure manquante). (le tiroir central ne s'ouvre pas). Sous le plateau ouvrant : 4 niches, quatre tiroirs à tirette et un secret.
  • Ornementation : Le meuble est rythmé de 4 entrées de serrure dorées (clé fournie). Les deux pieds en façade se terminent par un piètement doré au motif végétal.
  • Plateau : Plateau de cuir vert d'origine.
  • Marqueterie : Placage toutes faces en bois de violette, y compris le dos du meuble.

Secrétaire dos d'âne "Bonheur du jour" époque Louis XV

800,00 €Prix
  • Qu'est-ce qu'un bureau "dos d'âne" ?

    Le bureau dos d'âne ou bureau de pente désigne un bureau comportant des abattants en biais. Ainsi, de profil, ce type de meuble simule le bât d’un âne. 

     

    Celui-ci fait son apparition en France, au XVIIIème siècle, en plein dans le style Louis XV et évoluera peu à peu, notamment dans les salons des dames dans sa version réduite. 

     

    En fonction de la position de son abattant, ouverte ou fermée, le bureau dos d'âne peut avoir deux fonctions. 

    • En position fermée, le bureau pouvait servir de table liseuse. On trouve d'ailleurs parfois une réglette sur l'abattant pour y déposer un livre ou une partition. 
    • En position ouverte, l’abattant forme alors un plateau permettant l’écriture et le meuble prend toute sa fonction de bureau. 

     

    L'intérêt de ce petit meuble réside surtout dans ses différents tiroirs et cachettes permettant de conserver les écrits. Les systèmes de verrouillages se multiplient, les tiroirs et caissons se munissent de caches plus ou moins accessibles. Et souvent, entre les deux rangées de tiroirs se dissimule une cachette, dans la lignée des meubles à secret créés dès le XVIème siècle sous l’influence de Catherine de Médicis.

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